Set : n°72002 / Le double canon
Nombre de pièces : 191 /
Nombre de figurines : 3
Prix S@H : 19,99 euros
Ratio p/p = 0,105 euros par pièce
Date de sortie : 31/12/2017
La nouvelle vague Nexo Knights cuvée 2018 est sur les rangs. Comme chaque année, elle apporte son lot de véhicules futuristes plus ou moins loufoques, de nouveaux méchants et quelques nouvelles pièces.
On va s’intéresser en premier lieu à ce Double Canon, un véhicule des méchants aux accents Blacktron II pour les plus anciens et nostalgiques d’entre les AFOLs.
Présentation de la boite :72002 - Box by
Damien GAMET, sur Flickr
Avec le nouveau thème, le décorum Nexo Knights subit quelques changements : si le paysage reste toujours baigné de bleu, un vert brillant apparaît par touches ainsi que des pistes électroniques, révélant le côté « cyber attaque » de cette nouvelle faction de méchants. Le personnage représenté en haut à droite est le grand ennemi Monstrox sous sa nouvelle forme : un hologramme couleur verdâtre.
72002 - Box rear by
Damien GAMET, sur Flickr
A l’arrière, des images du set montrant sa principale fonction : une séparation en deux parties indépendantes. Sur la droite, se trouve la classique présentation de l’application. Entre les deux, un bandeau doré montre une liste de 7 pouvoirs de Merlock, des boucliers spéciaux qui sont les nouveaux éléments à collecter au gré des sets de la gamme. Celui qui est surligné est l’arbalète de Merlock et il est présent dans la boite.
Contenu : Cette boite contient 1 notice, 3 sachets non numérotés, 2 grandes roues et une petite planche d’autocollants.
72002 - Contents by
Damien GAMET, sur Flickr
Voici les autocollants que je ne collerai pas :
72002 - Stickers by
Damien GAMET, sur Flickr
Quelques nouvelles pièces viennent agrémenter cette nouvelle vague Nexo Knights :
72002 - New parts by
Damien GAMET, sur Flickr
Des ailettes de « style Nexo Knights » en trans green, les nouvelles petites araignées robotiques qui servent de projectiles et de « critters » pour la faction ennemie (dans un rôle de propagation de la cyber infection) et de nouvelles wedge plates arrondies 4x4 tenons.
Montage : Le montage des deux modules identiques s’effectue en parallèle. Puis on termine en assemblant ces modules et en y ajoutant quelques éléments. Rien de très compliqué avec du System et un peu de Technic.
On obtient un véhicule biplace typé dragster plutôt sympa :
72002 - Twinfector by
Damien GAMET, sur Flickr
Le fait d’avoir une verrière Nexo verte transparente d’un côté et un support de l’autre casse la symétrie et c’est une bonne chose.
72002 - Twinfector rear by
Damien GAMET, sur Flickr
Vu de dos, on apprécie la pente du véhicule pour plus d’agressivité.
Lorsque l’on sépare l’engin en deux modules, les roues sont réorientées pour simuler des répulseurs et des réacteurs, on obtient des sortes de motospeeders.
72002 - Twinfector separation by
Damien GAMET, sur Flickr
Chaque motospeeder possède un lance-tenon qui projette les petites araignées.
En rassemblant l’engin et les figurines :
72002 - All by
Damien GAMET, sur Flickr
Le support permet de recevoir un bouclier et des points d’emport (pinces) existent sur l’engin pour fixer les armes de poing.
Figurines : Commençons par les méchants : nommés Pola et Fred (les jumeaux maléfiques selon la description du S@H), ils bénéficient de nouveaux casques et armures, ainsi que d’un nouveau bouclier. Pola porte la coiffure du Joker du Lego Batman Movie en violet.
72002 - badguys by
Damien GAMET, sur Flickr
Le bouclier est nouveau, toujours pentagonal mais avec 5 pointes très marquées. La petite araignée reçoit une round plate 1x1 sur son dos creux pour être opérationnelle.
Si on retire leurs bardas, on constate que ces deux personnages sont vêtus de manière identique.
72002 - badguys no headgear by
Damien GAMET, sur Flickr
Peau blanche, yeux rouges, canines : tout évoque les vampires. Les pistes vertes sur le visage évoquent quant à elles le côté cyber. Pola a une moitié de visage complétement robotique, de la belle ouvrage pour de la science-fiction cyberpunk.
De dos, c’est aussi très cyberpunk, notamment pour Fred avec ce masque aux accents insectoïdes :
72002 - badguys back by
Damien GAMET, sur Flickr
Notez le bouton vert marche-arrêt d’ordinateur dans le dos. S’il y suffit d’appuyer dessus pour les désactiver, Knighton est sauvé…
De l’autre côté, le chevalier au renard Aaron Fox porte une nouvelle armure dorée qui accompagne son bouclier doré.
72002 - Aaron Fox by
Damien GAMET, sur Flickr
Plus de vert dans la tenue mais sa tête reste la même depuis sa création.
72002 - Aaron no headgear by
Damien GAMET, sur Flickr
Très jolis détails sur la tenue, une marque de fabrique de la gamme.
72002 - Aaron back by
Damien GAMET, sur Flickr
Bonus : Mode Nexo KnightsVoici une petite comparaison des Aaron Fox successifs, vague après vague : de gauche à droite, 2016, 2017 et 2018.
72002 - Aaron 2016-2018 by
Damien GAMET, sur Flickr
Notez 3 armures différentes, le changement de couleur de la visière mais un casque qui ne subit pas de modifications.
Sous l’harnachement, les tenues sont très différentes avec plus de vert et le doré qui remplace l’argenté cette année.
72002 - Aaron no headgear 2016-2018 by
Damien GAMET, sur Flickr
Dans le camp d’en face, j’ai une piste d’utilisation pour les nouvelles pièces d’armure. Le côté « brut de décoffrage » de ces grosses plaques ajustées et rivetées me rappelle un peu le Mordor…
72002 - Ork tests by
Damien GAMET, sur Flickr
72002 - Ork tests-1 by
Damien GAMET, sur Flickr
Je trouve que ça colle pas mal, une paire de cornes dans le casque ajoute un peu de bestialité. Reste à trouver quelles autres coiffes s’adapteront à cette armure car elle ne laisse que peu de place.
Conclusion : Ce set d’entrée de gamme (!) regroupe les principales nouveautés en termes de pièces et de personnages. Il est jouable et reste dans la lignée des autres sets Nexo Knights de ce type des années précédentes. Pour ma part, je valide !
De plus, sans être super fan de cette nouvelle faction, je reconnais que les véhicules sont plus accrocheurs que ceux des méchants précédents, peut-être tout simplement parce que plus proche de la science-fiction que de véhicules étrangement monstrueux.
Merci de m’avoir lu.